[Chambre] Daiei

Une fois installés, Bouddha déballa les affaires qu'il porta en lévitation pendant tout son chemin ... Et le vieux moine installa son petit autel afin de pouvoir méditer lors de son réveil le lendeamin, aux aurores.

Daiei: Bonne nuit, Bouddha et bons reves.

Bouddha: Pareillement, maitre !

Daiei: Croyez vous que les autres nous suivront?

Bouddha: Oui, maître, je l'espère.

'Il est enfin le temps de dormir pensaient ils' Et de ce pas, le vieux moine, épuisé, s'endort profondément, malgré le bruit des alentours.

Après une bonne nuit de sommeil, Daiei, qui se levât aux aurores, se dit qu'il faut visiter un peu les lieux...

- D'abord rendons visite au voisin de pallier, se dit il, tout se se rappelant ce que l'aubergiste lui a dit la veille. Je lui proposerai volontiers une tasse de thé vert...

De ce pas, Bouddha suivit son maitre qui sort de sa chambre juste après sa toilette matinale. Il a bien 85 piges; vu sa santé il se comporte comme un larbin de 20 ans à peine... (santé et style de vie oblige)

Arrivé au seul de la porte (passé le couloir; ils y'a deux chambres par appartement), il ouvrit la grande porte donnant sur le couloir commun, servant aussi de pallier. Ensuite il cria:

- Direction: 'chez Sasuke Uchiwa' !

L'étage de l'auberge après la première attaque d'Uchiwa était presque completement anéanti... ainsi pensa le vieux sage après sa sortie de la chambre de son voisin...

Daiei se dit de dormir un peu, et en entrant il fut étonné de voir sa chambre intacte. Est ce du à l'annulation de Furyoku? Sans doutes pensa t'il mais ne voulut plus y penser, et finit par s'endormir au son de ses mantras qu'il n'eut plus eu la force de terminer.

Bouddha sentant la tristesse du visage de son maitre medita a son tour en reprenant les mantras la ou le vieux moine les a laissés ...

Daiei combien de fois je vais te le répété 7 lignes COMPLETE

Hao Asakura a écrit:

Daiei combien de fois je vais te le répété 7 lignes COMPLETE

.NB: C'est "7" lignes... quand j'avais rédigé cela il était 2h30 du matin et j'avais sommeil; oui bon pas d'excuses, je l'accorde. (cependant, on peut rester indulgents envers ceux qui font l'effort!)